mardi 29 octobre 2013

"Le grand cahier" - Résumé par Mélanie H.

Les autres enfants
À l'école des jumeaux se trouvent d'enfants de différents origines. Souvent, eux aussi doivent travailler assez dûrement dans les champs. L'éducation n'est pas vraiment agréable: Les grands enfants attaquent et battent les plus petits. Pendant que les petits enfants sont protégés par la mère, Klaus et Lucas ne sont protégés par personne. Ils apprennent donc à se défendre eux-mêmes et commencent à fabriquer des armes, par exemple des pierres. Ils possèdent même un rasoir. Un jour de chaleur, ils voyent Bec-de-Lièvre apporter un seau à la fontaine pour le remplir d'eau. Elle est dérangée et menacée par des garçons qui crachent dans le seau. Là, Klaus et Lucas interviennent et remplissent le seau de Bec-de-Lièvre. Les autres garçons commencent à avoir peur et fichent le camp: Ils savent que les jumeaux ont la réputation d'être dangeureux. 
Après, Bec-de-Lièvre demande les deux pourquoi ils ne l'ont aidée plus tôt. Ils lui expliquent qu'ils voulaient voir comment elle se défend et lui apprennent comment elle aurait pu faire.
Ce chapitre est important parce qu'il souligne la situation misérable des deux jumeaux qui n'ont personne qui les protège. C'est pour cette raison que les enfants doivent apprendre à se défendre eux-mêmes.

L'hiver
L'hiver commence, il fait de plus en plus froid. Klaus et Lucas ne possèdent qu'un pair de chaussures chacun et n'ont ni des gants, ni de bonnet. Leurs mains et pieds sont couverts d'engelures. Le grand rêve des jumeaux est un pair de bottes en caoutchouc pour pouvoir aller chercher du bois dans la forêt. Au lieu de cela, ils restent à la maison, étudient et font des exercices. Ils mangent mal, n'ont presque plus des légumes ou des fruits. Quelquefois le facteur vient à la maison, mais la grand-mère jette toutes les lettres au feu: Parce qu'elle n'est jamais allée à l'école, elle ne sait pas lire. Bien qu'elle ne veuille pas que les enfants lisent les lettres, les deux vont fouiller sa chambre et trouvent un paquet sous son lit avec des pull-overs et des gants. Ils ne disent rien jusqu'au soir où ils la font tomber sur son lit et la confrontent avec le paquet qui est de leur mère. La grand-mère pleure et se plaint que leur mère ne lui écrive jamais.
Ce chapitre montre la grande pauvreté des jumeaux et de leur grand-mère, mais il montre aussi l'amour que la mère ressentit pour ses enfants. 

Le facteur
Maintenant, les deux garçons attendent toujours le facteur qui est décrit comme vieillard avec une casquette et une bicyclette. Un jour, ils dévissent sa sonnette et le bousculent parce qu'il ne veut pas leur donner ce qu'il a apporté. Quand ils fouillent ses sacoches, ils trouvent une lettre et un mandat. Ils prennent la lettre et lui disent de leur donner l'argent, mais le facteur se défend: Il veut donner l'argent à la grand-mère. Les jumeaux commencent à le menacer et lui disent que l'argent est destiné à eux ce que le facteur accepte et leur donne l'argent. Il dit qu'ils ont raison de se défendre et leur raconte que leur grand-mère est connue comme avare et qu'il y a des gens qui disent qu'elle a empoisonné son mari. C'est pour ça qu'on appelle la grand-mère aussi la Sorcière. Les enfants n'aiment pas ces racontars et menacent de tuer le facteur s'il ne leur apporte pas le courrier.  Le facteur est d'accord. Le lendemain, Klaus et Lucas s'achètent des bottes de caoutchouc avec l'argent qu'ils ont reçu.
Le comportement des enfants à l'égard du facteur dénote une grande puissance et aggressivité des enfants. Le chapitre est aussi important car les enfants apprennent qu'on appelle leur grand-mère la Sorcière.

Le cordonnier
Le cordonnier habite et travaille dans le sous-sol d'une maison près de la gare. Il lit et cuisine dans la même pièce vaste. C'est chez lui que les enfants viennent pour acheter des bottes en caoutchouc. Les bottes chaudes sont très chères et les jumeaux ont seulement argent pour une seule paire. Ils expliquent au cordonnier qu'ils ne peuvent pas sortir seul et lui racontent qu'ils sont les petits-enfants de la sorcière et qu'ils ne possèdent pas d'argent. Le cordonnier leur offre deux paires de bottes que les enfants veulent seulement accepter s'ils peuvent les payer plus tard ou lui apporter du bris. Mais le cordonnier ne veut pas leur argent et les offre les bottes et tout ce qu'ils veulent. Ils dit de n'en plus avoir besoin parce qu'il va partir et être tué. Quand les enfants demandent pourqoui, il ne veut pas leur répondre.
Le chapitre sur le cordonnier est un des rares chapitres heureux du livre. Le cordonnier est la première personne qui est vraiment gentil aux enfants et contrairement à la grand-mère, il est aussi très généreux.

Le vol
Avec leurs nouvelles bottes, les jumeaux peuvent de nouveau sortir. Ils font des glissades et vont aller chercher du bois. Ils n'ont pas froid; ils transpirent même et peuvent enlever les gants. Un jour, ils rendent visite à Bec-de-Lièvre. Quand personne n'ouvre la porte, ils entrent et trouvent Bec-de-Lièvre couchée dans sont lit. Elle ne sait pas où se trouve sa mère. Les jumeaux allument le feu, rôtissent des pommes de terre et cuisent des haricots. Bec-de-Lièvre vient s'asseoir près d'eux. La mère vient et les jumeaux lui donnent le repas. Avec l'argent qui reste, ils vont dans une épicerie pour acheter de la farine. Ils volent aussi du sel et du sucre. Chez le boucher, ils achètent une tranche de lard et volent un saucisson. Quand il retournent, Bec-de-Lièvre et sa mère ont déjà tout mangé. Klaus et Lucas leur offrent d'apporter chaque jour quelque chose à manger. Voler, pour les enfants c'est une "exercice d'habilité". Mais ils ont besoin d'argent pour réussir. Bec-de-Lièvre leur recommande de demander Monsieur le curé: Il a déjà donné de l'argent à Bec-de-Lièvre quand elle lui a montré sa "fente".
Ce chapitre montre comment les enfants apprennent à voler de la nourriture pour survivre. La pauvreté de Bec-de-Lièvre et sa mère est tragique, aussi le fait que Bec-de-Lièvre se laisse abuser du curé pour obtenir de l'argent.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire