mercredi 27 mai 2015

Normes pour l'uniformisation des libellés


ATTENTION!
 
Pour l'uniformité des libellés veuillez s'il vous plaît utiliser les libellés déjà existantes (n'oubliez pas d'ajouter la libellé de votre nom) pour que chaque personne utilise les mêmes. Et pour vos versions révisées veuillez utiliser <traduction révisée>, <le grand cahier révisé>, etc. et, en outre, aujouter à toutes les versions révisées la libellé <version révisée>.

jeudi 1 janvier 2015

Normes pour l'uniformisation des posts sur les interviews (version révisée)


 Libellés: <interview> <voir-écouter> <votre nom>
Times New Roman 12pt interligne de 1.5, texte justifié (= Blocksatz), sans „effets spéciaux“, attention! pour la transcription, n’utilisez pas Times New Roman, mais plutôt Consolas !
-----8<------8<---------8<-------8<---------

Interview avec [nom du personnage] : par Prénom N[om]

Source : www.youtube.com/etc 

Synthèse
[parler brièvement du setting/ dispositif de l’interview : qui est l’intervieweur, qui est l’interviewé_e ? quand cet interview a-t-il eu lieu ? où ? pourquoi ? quel en est la thématique? quel en est l'enjeu? sur quoi porte l’interview ? ; dégager une problématique, des points de débats etc.]
[dire pourquoi vous avez choisi cette interview; attention: écrire en caractères italiques]

[coller la vidéo uploadée]

Typologie
[s’agit-il d’une interview dont le but est d’être (a) narratif (qn raconte son histoire en répondant à des questions), (b) argumentatif (qn doit défendre son point de vue) (c) injonctif (qn demande des conseils à une autre personne) (d) etc.]

Transcription
[présenter la transcription d’environ 4 à 5 minutes de l’interview. Si vous avez choisi une séquence d’une interview plus longue, dites pourquoi vous l’avez choisie]

Analyses
[présenter deux analyses, ou grammaticales ou linguistiques]
Analyse I
[…]

Analyse II
[…]

Explications, recherches, interprétations
[présenter deux explication/ recherches/ interprétations]
Explication/… I
[…]

Explication/… II
[…]

(Et finalement pour ceux qui s'y intéressent: les conventions de transcription. Tiré de: Anne-Sylvie Horlacher, 29 novembre 212)

/ \
intonation montante et descendante
[
début du chevauchement
.  ..  …
pause (non mesurée)
courte (>0.3), moyenne (>0.6), longue (> 1 sec.)
(1.5)
pause (mesurée) en secondes et dixièmes de seconde
xxx
segment inaudible
( )
transcription incertaine
((rire))
commentaires du transcripteur
< >
début et fin du segment auquel s’appliquent les commentaires
&
continuation du même tour
vidéo
accent
=
enchaînement rapide
°  °
diminution de volume
exTRA
augmentation de volume
par-
troncation
:
allongement syllabique
^
liaison remarquable
‘h
aspiration
h’
expiration
tsk
ouverture de bouche



mercredi 31 décembre 2014

Normes pour l'uniformisation des posts sur les films (version révisée)


Libellé(s) : < film> <ouïr-voir> <votre nom>
Times New Roman 12pt interligne de 1.5, texte justifié (= Blocksatz)
Titre du film par Prénom N[om]
---------------8<----------------------------8<----------------------------8<-------------------------
Le film en bref
Nom du réalisateur :
Production:
Année de sortie :
Scénariste(s) :
Adaptation :
Remake (evtl.) :
Récompenses :
Réception publique et critique [décrire en quelques phrases] :

Choix de deux séquences
Première séquence
[contenu : situer la séquence ; pourquoi j’ai choisi cette séquence du film ? Dialectique: dialogue, une dynamique d'échange qui doit permettre d'avancer dans la discussion]

Deuxième séquence
[contenu : situer la séquence ; pourquoi j’ai choisi cette séquence du film ? Quelle est sa dialectique]

+ coller ensemble les séquences

Résumé et importance des séquences
Première séquence
[Résumé en Times New Roman 12, sans « effets spéciaux »]
[Importance de cette séquence, en Times New Roman 12, italique]

Deuxième séquence
[Résumé en Times New Roman 12, sans « effets spéciaux »]
[Importance de cette séquence, en Times New Roman 12, italique]


Explications/ interprétations/ recherches du film dans sa totalité
Explication/… I
[]

Explication/… II
[]

mardi 31 décembre 2013

Interview 120 secondes: par Nadia D.



Synthèse
Il s’agit d’une interview de la chronique 120 secondes de la Radio Couleur 3. Vincent Veillon et Vincent Kucholl constituent des interviews avec des personnalités fictives qui traitent sur des sujets d’actualité. L’émission est diffusée chaque matin à partir de 750 du matin. Le titre de l’interview que j’ai choisie est : Les abattoirs suisses manquent d’hygiène selon les Chinois. Une délégation chinoise a mené une inspection dans plusieurs abattoirs suisses pour déterminer si la Suisse était autorisée à exporter certains produits carnés en Chine. Le résultat de l’inspection est négatif lorsque les conditions d’hygiène ont été jugées insuffisantes. L’interviewé est un bouger qui n’est pas de même avis que la délégation chinoise en ce qui concerne le jugement sur l’hygiène dans les abattoirs suisses.
J’ai choisi une interview de l’émission 120 secondes parce que la manière dont les deux personnages constituent les interviews est très amusante. Ils traitent des sujets d’actualité, qui sont d’ailleurs très intéressants, avec de l’ironie et y jettent un regard critique.



Typologie
L'interview traite d’une manière humoristique un sujet d’actualité. L’interviewé raconte d'une inspection menée par des chinois dans les boucheries suisses. Il argumente contre l’accusation des chinois que les conditions d’hygiène étaient insuffisantes et défend son point de vue positif sur les boucheries suisses.

Transcription

A: l'interviewer
B: le boucher


 

Analyses
Analyse I
Le boucher  vient de raconter qu’il avait déjà tué un chat. Ensuite (ligne 25), l’interviewer lui demande : « comment vous avez pu faire ça ? ». Il s’attendait à une réponse d’un point de vue moral, mais le boucher interprète la question autrement. Ce dernier répond en décrivant l’action qu’il a exécutée pour tuer le chat : « Oh bah c’est pas très compliqué : vous prenez le ptit chat : vous l’mettez sur la planche à découper. vous lui fait dégeler pour l’rassurer. une fois qu’il ronronne.. CLAQUE… et hoppe la tête est loin. » Les deux n’étaient donc pas sur le même niveau linguistique en ce qui concerne cette question.

Analyse II
Pendant que l’interviewer parle le français standard et fait de beaux phrases, l’interviewé se répète, hésite, ne respecte pas la syntaxe ou laisse tomber des lettres. Ce sont des phénomènes typiquement oraux. Il laisse par exemple tomber le « e » de petit ce qui donne « ptit » (ligne 26), fait une liaison entre « que » et « les » : « q’les » (ligne 74) et répète trois fois « c’est » avant de continuer sa phrase (ligne 78).

Explications, recherches, interprétations
Au moment où l’interviewer veut prononcer le mot « hygiène », il voit que le boucher met son doigt dans la bouche et qu’il se gratte aux dents. C’est la raison pour laquelle l’interviewer hésite à prononcer le mot « hygiène » (ligne 85). Une autre fois, le boucher se gratte même dans le nez ou lèche le couteau. Mais ces trois exemples ne sont pas les seuls points qui sont controverse face au débat autour de l’hygiène. C’est déjà l’apparence physique du boucher, couvert du sang et portant un immense couteau ensanglanté, qui donne naissance aux suppositions que l’hygiène dans les abattoirs suisses ne correspond pas à celle qu’elle devrait.

mercredi 18 décembre 2013

Interview 120 Secondes: par Syrina G.



Synthèse
L’interview Des calendriers scolaires et militaires harmonisés ? (publié sur youtube le 27.08.2013) fait partie d’une émission de la Radio Télévision Suisse (RTS) intitulée 120 secondes. L’interviewé est donc un acteur qui joue le rôle du personnage lieutenant-colonel Karl-Heinz Inäbnit de l’armée Suisse et l’intervieweur Vincent Veillon. Inäbnit est le suppléant du commandant de la place d'armes de Bure et, dans cette interview, il parle de l’harmonisation des calendriers scolaires et militaires. On y discute alors la problématique qu’ont les hommes d’entrer au militaire après avoir passé leurs examens de maturité. Le temps entre les examens et la rentrée à l’université est plus courte que la durée de l’école de recrus. C’est pour cela que le lieutenant-colonel veut que les écoles et les universités adaptent leurs horaires afin d’assurer que les hommes puissent effectuer leur service militaire.

J’ai choisi cette interview parce qu’elle parle d’une discussion qui est toujours importante et déclenche beaucoup de débats sur la durée et l’organisation du lycée, ainsi que de l’armée suisse. En plus, c’est une émission comique qui est donc très drôle à écouter et analyser.

Typologie
L’interview présentée est argumentative, car le lieutenant-colonel argumente pour le changement des horaires scolaires afin d’améliorer la rentrée militaire. Mais le cadre de l'émission 120 secondes le rend également satirique.

Transcription

I: Intervieweur (V.Veillon)
L: Lieutenant-colonel Karl-Heinz Inäbnit



Analyses
Analyse I
l.34-35
En français standard on dirait plutôt « c’est cette semaine que les étudiants peuvent potentiellement  rater »
Le locuteur ne semble pas être sur concernant la place de l’adverbe « potentiellement » ou bien il se rend compte qu’il ne peut pas vraiment enchaîner la phrase de la manière dont il l’a commencée et c’est pourquoi il fait de nouveau référence aux recrus par le pronom « ils ».

Analyse II
l.23 et l.29
L’interviewé n’arrive pas à bien prononcer le mot « juillet » ce qui pourrait être lié à l’écriture du mot qui ne se prononce pas de la manière dont un locuteur allemand le prononcerait dans sa langue maternelle. Il y a encore d'autres problèmes de prononciation. Dans plusieurs des interviews avec ce personnage, il n'arrive pas à prononcer « pratique », mais le dit toujours en Allemand (« praktisch »).

Explications, recherches, interprétations
L’interviewé n’a pas tout le vocabulaire français qu’il lui faut pour répondre de manière complète aux questions posées par l’intervieweur. Par contre l’intervieweur réussit quand-même à le comprendre et lui suggère dès fois (mais pourtant pas toujours) les termes corrects en français.
l.16 : « rs eisezwanzg und rs zweiezwanzg »
Ici on ne sait pas si l’intervieweur a comprit, car il ne réagit pas sur cet énoncé, mais il est pourtant intéressant de voir que plus tard (notamment dans les lignes 23, 29, 32, 33 et 73) l’interviewée réussit à dire correctement les chiffres. Bien sûr il faut aussi voir que dans ces cas-là, ils sont dans un autre contexte, car il s’agit de dates et dans l’exemple de la ligne 16 ce sont les noms des groupes militaires. Il est donc possible que le locuteur comprend ces tournures en tant que nom propre et non pas comme énoncé qu'on pourrait (ou même devrait) traduire.

lundi 16 décembre 2013

Interview avec Hugo Rüesch - 120 secondes : par Céline H. version révisée


Synthèse
C’est une interview de la série suisse romande « 120 secondes » du novembre 2011, où l’animateur radio Vincent Veillon prétend interviewer le porte-parole de la chambre de commerce et de l’industrie de Saint Gall – Appenzell, qu’ils nomment Hugo Rüesch. Ensemble, ils veulent discuter de la proposition de cette chambre selon laquelle tous les étudiants devraient payer les frais réels de leur formation universitaire. Le but de cette interview est d’amuser les auditeurs - et les spectateurs, puis que les interviews de « 120 secondes » sont toujours aussi filmées. Il ne s’agit donc pas d’une discussion « réelle », sérieuse, où le contenu est la chose la plus importante, mais d’une parodie des gens qui ont fait cette proposition. Pour compléter cette parodie, le comédien qui joue le rôle de Hugo Rüesch s’amuse à intégrer beaucoup de fautes grammaticales et de prononciation pour se moquer des suisse-allemands.
J’ai choisi cette interview, d’un côté parce que je la trouve fort amusante et parce que je pense que le sujet duquel ils discutent est quand même assez intéressant, même s’ils n’en parlent pas très sérieusement, et de l’autre côté je trouve que, bien qu’il s’agisse d’une interview mise en situation, la tournure de la parole donne presque une impression réelle. Et finalement il est intéressant d’analyser les fautes qu’ils mettent dans la bouche de Hugo Rüesch.


Typologie
Il s’agit d’une interview argumentative, parce que l’intervieweur ne semble apparemment pas partager le point de vue de Hugo Rüesch que celui-ci essaie donc de défendre au cours de l’interview.

Transcription
Int.: La chambre de commerce et de l’industrie de Saint Gall –
Appenzell a proposé cette semaine que les étudiants des
universités et des écoles polytechniques fédérales assument
seuls les couts que la formation engendre pour l’état – on en
parle avec vous ce matin, Hugo Rüesch, bonjour.
H.R.: Bonjour Monsieur [Veillon]
Int.: [Bonjour] Vous êtes le porte-parole de la chambre de
[commerce]
H.R.: [Oui]
Int.: et de l’industrie de Saint Gall - [Appenzell],
H.R.: [mhm]
Int.: Alors vous nous confirmez cette proposition de faire passer
les étudiants à la [caisse] ?
H.R.: [Oui], naturellement, huh, ça vous choque ?
Int.: Ben oui, un p’tit peu. Et je pense ehh que j’suis pas le seul
Dans ce cas.
H.R.: Eh-et pourquoi est-ce que ça vous choque ?
Int.: Mais parce que la formation, c’est un service publique
H.R.: Oui mais les chemins de fer aussi et pourtant je [paie]
Int.: [Oui]
H.R.: mon abonnement général première classe, [tout]
Int.: [oui]
H.R.: comme je paie celui de [mes enfant et de mon épouse]
Int.: [Bon, oui, bon, en l'occurrence], ce que vous payez ne couvre
pas les frais effectifs des CFF
H.R.: Eh, je suis favorable à un abonnement général première classe
à 14'000 mille francs, comme ça y aura moins des pauvres dans
les wagons première classe, je trouve [les pauvres]
Int.: [Oui]
H.R.: en première classe, ça [m'indispose]
Int.: [D'accord], c'est, c'est pas vraiment le sujet du jour, hein,
revenons, si vous voulez bien, à l'éducation.
H.R.: D'accord, alors, si vous voulez pour exemple apprendre le
     Japonais à la Migrosklubschule
Int.: Mhm.
H.R.: Vous payez ça qu'est-ce que ça coûte, n'est-ce pas?
Int.: Mhm.
H.R.: Je vois pas, pourquoi ç'serait pas la même chose pour une
licence en droit ou pour une licence en psychologie, d'autant
plus pour une licence en psychologie qui,
Int.: Oui
H.R.: Jusqu'à nouvel avis, sert à rien [dans la société]
Int.: [Mons- Monsieur] Rüesch, on, on parle de formations
     universitaires, vous pouvez pas comparer eh avec l'école club
     Migros, qui en plus est en partie subventionnée par le pourcent
culturel
H.R.: Je suis favorable à la suppression du pourcent culturel
Int.: Je crois qu'on est un p'tit peu en train de s'égarer, revenons
à la formation universitaire, qui coute très cher.
H.R.: ça va, ça va, l'université de Saint-Gall ça coûte 115'000
francs pour une eh formation complète pour un [étudiant]
Int.: [Mhm, oui, je suis d'accord], que c'est un montant
inaccessible pour la majorité des gens.
H.R.: C'est une question de motivation, euh, à titre personnel, je
Viens d'offrir un MBA à la Harvard-Businessschool à mon fils
Theofilius
Int.: [Mhm]
H.R.: [Et ça] m'a couté 38'500 dollars pour une année, je trouve,
c'est correct.
Int.: D'accord, mais tout le monde n'a pas vos moyens
H.R. Monsieur, c'est une question de motivation, moi je suis me-
motivé, à titre personnel, pour m'acheter des beaux objets et
acheter des beaux diplômes à mes [enfants].
Int.: [D'accord], mais y a pas que la motivation, il y a aussi
l'origine sociale
H.R.: Non
Int.: qui peut [parfois xxx situation]
H.R.: [Monsieur, monsieur] je refuse d'entrer dans cette théorie
marxiste de origine sociale, Monsieur, le marxisme ne
fonctionne pas, vous peuvez constater ça quotidiennement au
Corée du Nord
Int.: Bon
H.R.: Par ailleurs, je dois vous dire, notre proposition a trois
avantages
Int.: Mhm
H.R.: Primo, ça, eh, ça permet à l'état de faire des économies
Int.: Mhm
H.R.: Deuxio, ça permet à les jeunes d'être plus motivés
Int.: Ah, toujours cette fameuse [motivation]
H.R.: Oui
Int.: Oui
H.R.: Si c'est vous, ou vos parents, qui paient, alors vous sortez
vos doigts du cul, hein? Et puis vous redoublez pas un année
sur deux, à cause que vous avez trop bu du la bière ou trop
écouté Iron Maiden, hein?
Int.: Mhm.
H.R.: Enfin, terzio, notre proposition diminuerait drastiquement le
chômage.

Analyse
Comme déjà annoncé dans la synthèse, une spécialité des émissions « 120 secondes » est d’imiter et de se moquer d’une part des différents dialectes de la Suisse romande et d’autre part des Suisse-allemands parlant le français, comme c'est le cas pour cette interview. Ainsi « Hugo Rüesch » fait d’un côté des fautes de conjugaison comme par exemple « vous peuvez» et de l’autre côté des fautes de grammaire comme par exemple « à cause que vous avez ». Comme ce sont vraiment des fautes qu’on trouve souvent chez des personnes germanophones et aussi parce que « Hugo Rüesch » les faits d’une manière très « naturelle » , on a l’impression qu’il est vraiment quelqu’un qui ne maîtrise pas parfaitement le français.

Recherche
Cette discussion a vraiment été lancée par la chambre de commerce et de l’industrie de Saint Galle – Appenzell, plus précisément par le directeur Kurt Weigelt, qui a proposé que les étudiants doivent payer la somme des coûts entiers de leur formation universitaire. En ce moment, ces coûts sont partagés entre l’état, les cantons et des privés qui soutiennent l’université tandis que les étudiants ne payent qu’une partie extrêmement petite. Il a proposé cette solution à cause de la situation actuelle : le nombre d’étudiants en Suisse augmente d’année en année et cause des coûts de plus en plus hauts pour l’état. Même si monsieur Weigelt a proposé que les étudiants doivent payer leur formation après qu’ils auront terminé leurs études, il est clair que Vincent Veillon a tout à fait raison quand il dit qu’il s agit là d’un « montant inaccessible pour la majorité des gens ».