Les Valseuses par
Luca Vincenzi
Le film en bref
Réalisateur : Bertrand Blier
Production : Paul Claudon
Année de sortie : 1974
Scénaristes : Bertrand Blier, Philippe Dumarçay
Adaptation : D’après le roman éponyme de Bertrand
Blier
Récompenses : Aucune
Réception publique et critique : Le film a eu un
grand succès quand il est sorti au cinémas. Il a fait 5’726’031 entrées. « Der
Spiegel » écrit dans l’année 1974 que le film est un chahut du bas-ventre
rude et faible. Le site « cinema.de » trouve le film irrespectueux,
avide, drôle, alors magnifique.
Choix de deux
séquences
Première séquence
Cette séquence se trouve après le premier tiers du film.
J’ai choisi celle-ci car elle marque le moment où Jean-Claude, Pierrot et
Marie-Ange décident d’entreprendre une quête sexuelle.
Deuxième séquence
Cette séquence se trouve à la fin du film. J’ai choisi
celle-ci par ce qu’elle est l’anti-scène de la première que j’ai choisie.
Résumé et importance
des séquences
Première séquence
On se trouve dans l’appartement de Marie-Ange. Après être
parti en Train Jean-Claude et Pierrot ont décidés d’aller la trouver. Elle
s’offre à eux sans besoin de persuasion. Il y a d’abord Pierrot qui lui fait
l’amour, même si on peut pas vraiment parler de « faire l’amour »,
plus tôt : il la baise. Elle n’a pas l’aire d’en jouir, on la voit même
bâiller. Peut plus tard il change place avec Jean-Claude qui est assit sur le
lit appuyé contre le mur. Lui aussi la baise et en même temps explique a
Pierrot comment faire.
Cette séquence
montre ou les trois se trouvent sexuellement. Elle marque aussi le début d’une
quête et évolution sexuelle. Sur le premier regard ça l’aire d’être une scène
vulgaire, mais c’est bien plus que ça. Il n’y a jamais une véritable connexion
entre ceux impliqué dans l’acte sexuel. Pierre est seulement concentré sur
soi-même, Marie-Ange est complètement détaché, se laisse faire et n’arrive pas
à jouir. Aussi Jean-Claude n’est pas dans le moment, en baisant il est impliqué
dans des explication comment faire jouir la femme et échoue minablement. C’est
impossible d’être à l’intérieure et à l’extérieure d’une situation en même
temps. Évidemment tout cela est supporté par la mise en scène. Le focus est
souvent sur l’homme qui est seul, et si l’acte est montré c’est presque
seulement les hommes qui sont au centre, ce qui transmet une vision égoïste de
ce qui signifie « faire l’amour », alors une satisfaction de ses
propre besoins. La scène n’est pas accompagné de musique, se qui lui donne une
atmosphère très froide et vulgaire. Et au mur il y a un tableau qui montre deux
pieds la parie plus basse du corps, une image pour montrer métaphoriquement que
les trois se trouve au début de leur évolution sexuelle.
Deuxième séquence
On se trouve sur une colline. Jean-Claude, Pierre et
Marie-Ange sont en fuite. Ils ont échangé leur voiture par une autre. Par
contre la famille à quelle ils ont prisent la voiture a une jeune fille,
celle-ci veux partir avec eux. Alors les trois décide de la prendre avec eux.
Sur le chemin ils apprennent qu’elle est encore vierge, alors ils se ferment
sur cette colline et la déflorent.
Après ils repartent sur la route, font sortir la jeune
fille et parent.
Cette séquence est
la contre scène de celle plus haut. Ils ont atteint le but de l’évolution
sexuelle. Marie-Ange peut jouir et Jean-Claude et Pierre sont capables à un
acte sexuel non égoïste. Toute la scène est arrangé complètement différent que
l’autre. Elle est accompagnée de musique et se trouve au dehors sur une
colline, alors un scénario contrastant celui de la première scène. C’est un
lieu on hauteur, qui métaphoriquement marque le point le plus haut de l’échelle
sexuelle. Le focus est pratiquement toujours sur la jeune fille qui est
caressée et choyé par les trois. Dans cette scène l’acte est ritualisé. Et
connaissant Jean-Claude et Pierre on sais qu’ils prennent se qu’ils veulent,
ils sont définie par ce comportement égoïste et asocial. C’est alors très
poétique si dans cette scène leur est donné un moyen de donner en prenant. Ils
prennent la virginité à la jeune fille mais luis donnent la liberté, le réveil
sexuel et un moment d’amour. C’est la seule fois que quelqu’un se remercie
envers eux.
Explications/
interprétations/ recherches du film dans sa totalité
Première explications
Il est possible de voir Les Valseuses comme un film qui veut par des scènes vulgaires
provoquer et rebeller, pousser le publique à s’indigner. Et c’est pas faut, le
film est cela. Mais dans le temps présent où un film comme celui n’a plus le
pouvoir de provoquer il est inévitable de le voir autrement. Car Les Valseuses et aussi une histoire très
poétique. Je veux montrer cela à partir d’une scène. Jean-Claude et Pierre, à
la recherche de l’expérience maximal de l’acte sexuel, attendent devant la
prison pour coucher avec une ex prisonnière. C’est Jeanne qui sort. Ils lui
offre des nouveau habilles et un repas de huitres et pour finir elle couche
avec eux. Le lendemain elle prend le revolver de Jean-Claude et se tire une
balle dans son vagin. Ce choix de suicide et intéressant. Pendent la scène dans
le restaurant en apprend que Jeanne à eu sa ménopause en prison. Elle a le
sentiment d’avoir perdu une grande parti de se qui la définie comme femme, elle
est plus capable de créer une vie. Mais Jean-Claude et Pierre la font sentir
femme on lui offrant tout l’attention, des habille et en voulant coucher avec
elle. Elle c’est bizarrement poétique qu’elle décide de mourir comme femme
complète, en se faisant saigner une dernier fois.
Deuxième explication
Je vais dans cette parti monter ma vision de la fin.
Le film à une fin ouverte. On voit la voiture avec
Jean-Claude, Pierre et Marie-Ange descendre une rue. Mais, même si ce n’est pas
montré, l’histoire fini et c’est une fin inévitable : les trois meurent.
Le film est une histoire qui doit finir, par ce qu’elle a
seulement cette notion romantique et poétique si les trois meurent. C’est comme
l’histoire de Bonnie et Clyde, seulement grâce à la mort tragique elle devient
l’histoire romantique et poétique dont la quelle on peut avoir de la compassion
avec les deux amoureux. Et il y a encore un autre indice. Au début du film
Jean-Claude et Pierre volent une voiture, une Citroën DS. Le patron de la
voiture leur tire dessus et touche les testicules de Pierre. Pour se venger ils
scient une roue pour qu’il fasse un accident. Par contre le patron vend la
voiture. À la fin du filme ils volent encore une voiture et c’est de nouveau
une Citroën DS. Quand à la fin on les voit descendre cette route en ressent cette
mort inévitable car elle est poétique. Elle est poétique par ce que elle forme
une boucle entre le début et la fin, par ce que tout finit où tout a commencé. C'est comme quand Anna dans Anna Karénine saute devant un train et finit sa vie sur un quai, l'endroit où l'histoire d'amour a commencé. Mes recherches ont montré que ma hypothèse est juste, car dans le livre qui est la base de ce film les trois meurent dans un accident de voiture.
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